Est-ce le vent qui vole aux pierres leur éternité (en les érodant lentement, lentement) ? Si c'est le cas, cela fait-il de lui un acteur — et donc un personnage — alors que l'on voulait, du roman, cette engeance absente (car de la révolution minérale, il faut garder le cap) ? Si le vent est personnage — ainsi déjà renoncer aux idéaux ! — a-t-il son libre arbitre ? D'ailleurs est-ce un personnage unique (le vent) ou bien des dizaines — alizé, mistral, autan, balaguère,... ?
Et surtout, nom de dieu, faut-il utiliser des parenthèses ou des tirets cadratins ?