samedi 1 juin 2019

Et après tout, se demande Syméon Claudex, qu'y a-t-il donc de si désirable dans l'acte de terminer d'écrire un roman ? Tant qu'il n'est pas achevé, au moins a-t-on l'espoir qu'un jour il sera lu, alors que, à peine tracé le mot fin, la triste réalité nous rattrape : personne n'a très envie de le lire, pas même l'auteur pour en corriger les fautes d'orthographe.