vendredi 17 mai 2019

Syméon Claudex a passé une longue soirée avec deux amis. Divers apéritifs ont été bus. Trois ou quatre bouteilles de vin blanc de Bourgogne et de Loire ont suivi. Puis, six bouteilles de Morgon. Un magnum d'un formidable Marsannay a été bu contre toute raison. Et tout cela, presque sans manger. L'ivresse est irréfutable. Un petit digestif ?, demande un ami à Syméon Claudex.

- Et bien, tu vois, choisir de terminer cette soirée merveilleusement écrite par une grappa, un whisky, un rhum, une wisnówka ou un armagnac, c'est exactement la même chose que de choisir comment terminer mon roman minéral : un mauvais choix peut donner la nausée et tout foutre en l'air.